![]() |
![]() |
L’article publié sur le site de France Inter à l’occasion de l’assassinat de Dominique Bernard au Lycée Gambetta d’Arras est sobre, il relate les faits tels qu’ils sont connus, il traduit l’émotion quasi-unanime des professeurs de France et celle d’une immense majorité de Français.
Sa mort en activité rappelle celle, largement annoncée de Samuel Paty, qui fut abandonné à son triste sort... (puis, après sa mort, unanimement célébré).
Il serait profondément injuste d’oublier les toutes premières victimes de cette barbarie, le Professeur Jonathan Sandler, ses deux fils Arié 6 ans et Gabriel 3 ans et demi, ainsi que Myriam Monsonego, 8 ans et demi, la fille du directeur d’Ozar Hatorah à Toulouse, le 19 mars 2012
Le choix de l’enseignement était jadis une vocation, il faut y ajouter maintenant le risque du martyre, surtout pour celles et ceux qui ont l’outrecuidance d’enseigner l’Histoire...
- Le courriel adressé par le Ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse à la communauté éducative :
- Un temps d’échange et de recueillement dans les écoles et établissements lundi 16 octobre
- Quelques informations biographiques de Dominique Bernard, complémentaires et importantes, trouvées sur lefigaro.fr
- Le drame tel qu’il est relaté par Wikipédia
Voici des articles du Café Pédagogique (déjà anciens, mais malheureusement plus actuels que jamais) qui favorisent les réflexions et les actions à venir :