Les réalisateurs ont choisi une approche « naturaliste » pour la mise en scène. Une caméra fixe virtuelle se contente de regarder tourner notre satellite. Les différents plans s’enchaînent sans fondu, ni transition d’aucune sorte pour renforcer leur pureté. Leur longueur et leur lenteur permettent de souligner la majesté de ce ballet hypnotique. Le résultat est beau, tout simplement.